mercredi 30 juin 2010

Samedi dernier... la suite

Suite de ce joli samedi dont je vous avais parlé ici. Après notre exquis déjeuner, F. et moi avons décidé de nous balader dans le quartier, surtout que ni lui, ni moi, ne connaissons ce coin. En plus d'une passion commune pour les bons repas, F. et moi aimons beaucoup les magasins pour la maison. Direction The Conran Shop, où l'on rêve devant des objets bien trop chers pour nous et où l'on se délecte dans des chaises de designers... Nous continuons à flâner dans la rue du Bac pour enfin atteindre Deyrolle : interdit de prendre des photos malheureusement, mais l'univers vaut vraiment le coup d'œil. F. ne savait pas où je l'emmenais, il a été pour le moins surpris. Nous passons également devant l'atelier de Joël Robuchon, le menu dégustation fait rêver...











Nous finissons notre promenade au Bon Marché où nous n'avions jamais mis les pieds auparavant. Tout d'abord, direction la Grande Épicerie où nous passons une bonne heure à nous perdre dans les rayons. Je suis émerveillée devant tant de produits exotiques, originaux (parfois étranges), et introuvables ailleurs. Je ne peux m'empêcher d'acheter quelques petites choses, vous vous en doutez. Puis, un petit tour au Bon Marché : le bâtiment est vraiment très beau, en particulier le plafond et le coin librairie. Nous en profitons aussi pour jeter un œil aux photos d'Ellen von Unwerth. Je ne suis pas très fan de son travail que je trouve parfois vulgaire (à défaut d'un meilleur terme), mais certains clichés m'ont plu.
















Petit aperçu de mon butin à la Grande Épicerie (liste non exhaustive...)




Je m'excuse du retard de ce billet. Je pensais l'écrire plus tôt, mais entre un week-end familial bien chargé, la chaleur écrasante, le retour du boulot et surtout, l'arrivée d'un nouveau venu (dont je vous reparle très vite), le temps est passé comme un rien...

jeudi 24 juin 2010

Samedi dernier... le début

Le week-end dernier, M. n'était pas là. Je le taquine en lui disant qu'il m'a lâchement abandonné, mais en fait, c'était plutôt une bonne chose. Ça m'a permis de me bouger un peu et de passer du temps avec des amis que je n'avais pas vus depuis un moment. Samedi, j'ai passé la journée avec F. Comme d'habitude, il a été partant pour que l'on déjeune ensemble et que l'on découvre un nouvel endroit. En plus, c'est facile, il a un peu les même goûts que moi : il n'apprécie pas ou peu la viande, il aime les sandwichs, les salades, les tartes,... Bref, il est toujours d'attaque pour un petit restaurant type salon de thé, et ça tombe bien, j'adore ça ! Et puisque je rêvais d'aller déjeuner chez Mamie Gâteaux depuis qu'elle en avait parlé (et qu'elle l'avait si joliment dessiné), nous avons jeté notre dévolu sur ce charmant endroit.

Notre serveuse (japonaise je pense) est d'une gentillesse rare, malgré les hésitations de F. qui finit par prendre la même chose que moi, un cake lardon pesto et tomates cerises (trop bon !). J'aime la nappe en papier à carreaux, les serviettes au nom du salon de thé, les verres qui me rappellent la cantine (j'avais 25 ans ce jour-là). J'aime le décor un peu désuet, rempli d'objets ayant vécu (une autre vie sûrement) : de jolies tasses, des boîtes en tout genre, un panier à œufs, des illustrations enfantines, des chaises où l'on peu cacher des trésors dans son dos... C'est tout à fait l'idée que je me fais d'une cuisine de mamie où l'on se sent bien, où ça sent la tarte aux pommes tout juste sortie du four, où l'on déguste un bon chocolat chaud, où l'on dévore les fraises que l'on vient de cueillir dans le jardin... C'est un peu une cuisine de rêve, où rien ne peut nous arriver, où on se réchauffe le cœur, et le ventre bien évidemment.
Et puis il y a cette tarte fraises pistache dont mes papilles rêvent encore... Au début, je croyais que c'était une simple tarte aux fraises, j'avais commandé autre chose, contrairement à F. J'ai bien sûr changé d'avis en apprenant la présence de la pistache. Notre charmante serveuse a remarqué que nous avions commandé exactement la même chose et nous avons ri tous les trois. Je vous le disais, on a vraiment les mêmes goûts.













Mamie Gâteaux
66 rue du Cherche-Midi
75006 Paris

À découvrir d'urgence donc ! Et la suite de cette journée arrive très vite...

mercredi 23 juin 2010

Y a pas que le chocolat dans la vie

J'ai toujours adoré les cookies. Pendant longtemps, ils étaient mes gâteaux préférés pour le goûter, mais attention, ce n'était pas n'importe lesquels : les Hello de LU (bah oui, LU c'est nantais !). Pour certaines choses, la marque n'a aucune importance*, mais pour les cookies, aucune autre marque (ou plutôt sous-marque) ne pouvait concurrencer les Hello. Leur texture croquante, les pépites de chocolat fondantes, ce petit goût praliné... Et forcément, les cookies étaient synonymes de pépites de chocolat, et de rien d'autre. Il en a été de même quand j'ai commencé à en faire toute seule comme une grande ou avec des amies, en vacances. Les cookies, c'est autant un plaisir de les faire que de les manger. Je nous revois encore nous disputer pour savoir qui lècherait la cuillère et racler le saladier du bout des doigts à la recherche de la dernière miette de pâte (c'est super bon aussi pas cuit). Tout ça pour vous dire que mes premiers cookies sans pépites de chocolat remontent seulement à la semaine dernière, et que je ne regrette pas l'expérience, ils étaient super bons !


Cookies aux flocons d'avoine et à la noix de coco

Pour 24 cookies

125 g de beurre
160 g de farine
70g de noix de coco râpée
30g de poudre d'amandes
180g de sucre roux
100g de sucre d'avoine
1 pincée de sel
1 c. à soupe de golden syrup (ou sirop d'érable)
1/2 c. à café de levure

Préchauffez le four à 160°C (th. 5-6).
Beurrez ou chemisez de papier sulfurisé la plaque de cuisson.
Dans un saladier, placez les ingrédients secs et bien mélangez.
Dans une casserole, faites fondre à feu doux le beurre et le golden syrup en mélangeant bien. Ajoutez deux cuillères à soupe d'eau bouillante, puis versez le tout dans le saladier contenant les ingrédients secs. Mélangez jusqu'à l'obtention d'une boule de pâte.
En faire des boulettes de 3cm de diamètre.
Répartissez les boulettes sur la plaque et enfournez 15 minutes environ. Surveillez bien la cuisson, les cookies doivent rester moelleux.
Retirez du four et laissez refroidir.





Le sucre roux (j'utilise du sucre de canne foncé vraiment très parfumé qui embaume toute la cuisine, j'adore) et le golden syrup donne un goût caramélisé très agréable à ces cookies. Dommage, ils étaient un peu trop cuits, mais niveau goût, rien à redire selon moi.

* Interdiction aussi d'acheter de la pâte à tartiner autre que Nutella !

samedi 19 juin 2010

Brèves du vendredi

Vendredi après-midi, j'ai vu un lion.

Et de très jolies choses à la Cocotte. Jusqu'au 23 juin, c'est Coc'obento !






Week-end à suivre...